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© 2024 |
Hameaux de St Sylvain |
Hameaux de SAINT SYLVAIN
Superficie : 955 hectares Altitude : entre 380 et 492 mètres Longitude : 1°45'07" Est Latitude : 46°08'33" Nord
Région : le Limousin (autrefois c’était la Marche) Département : la Creuse Arrondissement de Guéret Canton de Saint Vaury
nombre d'habitants (source INSEE)
- Au XIXème siècle, la population va croissant : il y avait 506 habitants en 1801, 630 en 1847 et 671 en 1851. - Le début du XXème siècle marque une inflexion qui ne cessera pas : 614 habitants en 1901, 336 en 1962, 216 vingt ans plus tard et 208 en 1999. - En ce début de XXIème siècle, il avait 190 habitants en 2006...
LES HAMEAUX DE SAINT SYLVAIN Carte/source : conseil régional du Limousin
Font partie de la commune :
Charraud :
En 1700, son nom s'écrivait Charos (cf. site internet Gendep 23). Il est plus que vraissemblable que ce village tienne son nom soit du métier de charon qui consistait à réparer les roues des charettes, etc.. soit du la charette ele-même : dans son ouvrage Les noms de la Creuse – Archéologie et Toponyme, Marcel Villoutreix explique que Charraud vient du latin carrus (chariot, charrette). On parlait de chemin de charroi pour les routes carrossables. Il existe en Creuse un autre village au nom similaire, le PontCharraud à Crozant.
La Graulade :
Le hameau de la Graulade tire son nom de la rivière qui le traverse. En effet, la Graulade est une petite rivière affluente de la Gartempe qui prend sa source entre les communes de Saint-Sulpice-le-Guérétois et de Saint-Vaury, à sept kilomètres à l'ouest de Guéret. Tout au long de son parcours de près de 10 kilomètres, elle se dirige vers le sud et se jette dans la Gartempe sur le territoire de Saint Sylvain. Son débit a par ailleurs été observé durant une période de 21 ans (de 1974 à 1995), au niveau de sa confluence avec la Gartempe. En 1709, le nom du village s'écrivait la Groslade.
Rebeyrat :
Le nom de ce hameau est issu du parler Marchois et signifie « celui qui habite près de la rivière ». C’est le seul hameau à s’appeler ainsi en Creuse. On trouve, sur la commune voisine de Saint-Victor-en-Marche, un hameau et un moulin appelé Rebeyrolle. Par ailleurs, en Creuse, trente-cinq hameaux comportent "Ribière" dans leur nom, variante de "Rebeyrat" : le Marchois est un mélange de langue d’oil et de langue d’oc, cette synthèse donne des mots ressemblant à l’une et à l’autre langue mais avec une graphie similaire au français. (en occitan, on dit plutôt "ribiéra" et en langue d'oil "rivière").
La Villatte quinque :
Après la défaite de Vercingétorix, la Gaule se soumet et est occupée par les soldats romains (en -49 avant J.C., deux légions s’installent sur le futur territoire « creusois »). Pendant toute cette période de domination romaine qui dure près de quatre siècles, l'Aquitaine, à laquelle appartient le futur Limousin et la Marche, connaît un nouvel essor, les grands propriétaires terriens formant une nouvelle aristocratie qui se romanise et qui se fait construire des villas, lieu où se développe l'agriculture, en quelque sorte une ferme gallo-romaine. La Villatte quinque en est une. Elle porte le N°5. A 5 km de là se trouve un autre village appelé La Villatte, cette fois dite billon, c’est-à-dire la N° 2. Juste à côté, à Saint-Sulpice-le-Guérétois , le hameau s'appelle la Villette.
Ce nom d'origine latine est très répandu dans le département. Environ 25 hameaux ou villages le portent et on trouve une variante, la ou les Villette(s), dans neuf autres villages.
Lafaye :
Ce nom, très répandu en France, vient du latin, de fagus signifiant le hêtre. Rien d’étonnant dans cette région boisée... On retrouve le même nom et la même orthographe pour six autres communes creusoises. On le retrouve orthographié différemment (La Faye) dans 17 autres communes et on trouve des variantes comme La Fayeaubost à Sardent ou bien encore La Fayette à Saint-Dizier-les-Domaines et à Toulx-Sainte-Croix.
Sous-Lafaye :
C’est le seul hameau à s’appeler ainsi en Creuse. Etrangement, il n'est pas situé à côté de Lafaye et peut peut-être s'expliquer pa sa situation géographique en contrebas d'un bois. A mes 20 ans, il y avait une discothèque (si, si !), la Pantomine.
Meillareteix :
Ce hameau est récent et s’est construit dans les années 1980 autour de trois maisons. Son nom signifie en Marchois « la meilleure terre ». En Creuse, il y avait sous la Révolution (cf. Archives départementales) des villes et villages dont le noms se terminaient eux aussi en –EIX - qui descendent généralement de noms latins en -iacus ou -iacum" - et certains ont perduré : Mallereix (canton de Boussac), Villemonteix (canton de Chénérailles), Mandredeix (canton de Châtelus-Malvaleix), Châtelus-le-Marcheix (canton de Bénévent-l’Abbaye), Saint-Yrieix-la-Montagne (canton de Felletin), Treissageix (canton de Saint-Sulpice-les-Champs), Reix (canton de Bénévent-l’Abbaye), Issoudun-Letrieix (canton de Chénérailles), Senoueix (canton de Gentioux), Champeix (canton de Boussac) ou bien encore Sardeix (canton de Bonnat).
le Monteillard : : Vraissemblablement, ce nom désigne un petit monticule, une colline. Il existe un moulin de Monteillard à Chavanat.
Confolent :
Tire son nom du latin confluentum, signifiant "le confluent". Confolent est au confluent de la Gartempe et du ruisseau qui passe en contrebas du hameau . Ce nom est utilisé en Creuse par au moins trois autres hameaux et ailleurs en France.
le Masbonson :
Pas d'info... pas encore !
le Pont du Cher :
Appelé ainsi en raison du ruisseau appelé le Cher qui passe sous un petit pont. Il y a là des chambres d'hôtes (voir site internet : http://www.creusechambres.com/ )
Le Pont de la Gartempe :
Tout près du village de Gartempe se trouve ce tout peti hameau limité à une maison, autrefois un bistrot où nous servaient Lucie et Marcelin... le Goujon frit, que de souvenirs.
la Barraque et Las Champs (à venir).
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